Antoine se raconte…

La Maison Biologique Audierne a ouvert ses portes le 3 juin dernier. Depuis, une saison s'est passée et un équipage s'est construit. Morgan, Damien, Manon, Aurélien et Antoine manoeuvrent au quotidien pour vous accompagner et incarner l'esprit de La Maison Biologique. Antoine en est le capitaine et barreur...Il organise les manoeuvres pour louvoyer au plus juste en direction de notre cap, notre projet et de notre vision. Une vision qui s'inscrit entre terre et mer, au coeur d'un territoire authentique, sincère et passionnant, à son image. Antoine se raconte au travers d'une histoire qui nous ressemble...Merci à lui pour ce partage.

 

En quelques lignes, peux-tu nous témoigner de ton parcours, tes racines, tes valeurs…?

 

J’ai grandi avec le sable costarmoricain avant de passer une grande partie de ma scolarité sur les bancs rennais notamment durant mes études supérieures dans l’audiovisuel. J’ai ensuite travaillé neuf ans dans l’univers textile. J’ai toujours eu un besoin essentiel de proximité avec la mer, terrain de jeu incroyable, inspirant mais aussi fragile. Pour moi, la mer a été l’origine d’une prise de conscience que nous sommes de piètres locataires sur cette terre, et que nous devons en prendre soin.

 

En quoi travailler pour le développement de l’agriculture biologique est un enjeu important pour toi ? 

 

J’y vois un peu d’utopie, mais une utopie motrice à la créativité. Une créativité pour anticiper, pour évoluer et développer un art de produire respectueux, sensible et durable. C’est aussi une source d’espoir, car les bénéfices environnementaux de la bio sont de plus en plus reconnus, donc travailler pour le développement biologique c’est aussi prendre conscience de la situation sanitaire actuelle et participer au développement de solutions pérennes. C’est une responsabilité.

 

Quelles sont les raisons qui t’ont amené à rejoindre l’aventure de La Maison Biologique ? 

 

C’est une aventure humaine permettant de concrétiser, de rationaliser cette utopie. Au départ, c’est la sensibilité et l’affection pour le développement d’un mode de vie bio, notamment par la promotion des activités de plein air que prône la Maison Biologique, qui m’a amené à collaborer avec elle.

Pouvoir m’impliquer et apprendre l’histoire de la bio, transmettre ses valeurs, son potentiel, partager l’art de produire et l’art de consommer me permettent de devenir un acteur dans cette transition écologique. C’est une aventure passionnée et passionnante.

C’est aussi une source d’espoir, car les bénéfices environnementaux de la bio sont de plus en plus reconnus, donc travailler pour le développement biologique c’est aussi prendre conscience de la situation sanitaire actuelle et participer au développement de solutions pérennes. C’est une responsabilité.

A tes yeux, que représente la coopérative BIOCOOP ? 

 

Pour le moment, je me représente la coopérative comme un outil pour soutenir et pérenniser notre Maison Biologique, tout comme nous participons à notre échelle à son développement. Je n’ai pas encore assez de recul et d’expérience pour comprendre en détail les enjeux et les desseins de la coopérative. C’est un juste équilibre entre rentabilité, accessibilité, innovation, transparence. Cela induit une garantie, un effort sincère vers une consommation durable, responsable, innovante et cohérente dans sa qualité de production et dans ses démarches de production.

 

Aujourd’hui, tu es responsable du magasin d’Audierne. En quoi consiste ton métier et quelle vision as-tu de ce métier pour les prochaines années ? 

 

En pleine découverte du métier, je concentre mon énergie sur la bonne gestion des stocks, le respect de l’hygiène et de la sécurité pour garantir une efficience économique dans une structure sécurisée. Il faut que la vision de notre définition de la bio s’incarne dans le magasin. Je travaille sur la commercialité, le merchandising et l’humain. L’objectif transversal est de tisser des liens solides entre les producteurs, les collaborateurs, et les consommateurs.  Je m’efforce de soutenir cet écosystème en pleine évolution, avec l’aide précieuse de mes collègues d’Audierne et de Douarnenez. Nous devons garantir cet équilibre afin de respecter, soutenir, et entretenir notre territoire dans la durée.

 

Dans ton métier aujourd’hui, quel est ton rapport à l’économie sociale et solidaire ?  

 

C’est tout récent, La Maison Biologique est un modèle d’affaire en statuts SARL ESS depuis la fin du mois d’août, c’est donc l’arrivée de nouveaux enjeux et de nouveaux défis avec l’objectif de promouvoir l’utilisation de ressources économiques au service des besoins de l’humain et de notre environnement. Nous nous engageons à utiliser 50% de nos bénéfices au service d’une cause, ou pour porter des projets collectifs à finalité sociale et environnementale en privilégiant le territoire.

Antoine se raconte Antoine se raconte Antoine se raconte

C’est aussi une source d’espoir, car les bénéfices environnementaux de la bio sont de plus en plus reconnus, donc travailler pour le développement biologique c’est aussi prendre conscience de la situation sanitaire actuelle et participer au développement de solutions pérennes. C’est une responsabilité.

A tes yeux, que représente la coopérative BIOCOOP ? 

 

Pour le moment, je me représente la coopérative comme un outil pour soutenir et pérenniser notre Maison Biologique, tout comme nous participons à notre échelle à son développement. Je n’ai pas encore assez de recul et d’expérience pour comprendre en détail les enjeux et les desseins de la coopérative. C’est un juste équilibre entre rentabilité, accessibilité, innovation, transparence. Cela induit une garantie, un effort sincère vers une consommation durable, responsable, innovante et cohérente dans sa qualité de production et dans ses démarches de production.

 

Aujourd’hui, tu es responsable du magasin d’Audierne. En quoi consiste ton métier et quelle vision as-tu de ce métier pour les prochaines années ? 

 

En pleine découverte du métier, je concentre mon énergie sur la bonne gestion des stocks, le respect de l’hygiène et de la sécurité pour garantir une efficience économique dans une structure sécurisée. Il faut que la vision de notre définition de la bio s’incarne dans le magasin. Je travaille sur la commercialité, le merchandising et l’humain. L’objectif transversal est de tisser des liens solides entre les producteurs, les collaborateurs, et les consommateurs.  Je m’efforce de soutenir cet écosystème en pleine évolution, avec l’aide précieuse de mes collègues d’Audierne et de Douarnenez. Nous devons garantir cet équilibre afin de respecter, soutenir, et entretenir notre territoire dans la durée.

 

Dans ton métier aujourd’hui, quel est ton rapport à l’économie sociale et solidaire ?  

 

C’est tout récent, La Maison Biologique est un modèle d’affaire en statuts SARL ESS depuis la fin du mois d’août, c’est donc l’arrivée de nouveaux enjeux et de nouveaux défis avec l’objectif de promouvoir l’utilisation de ressources économiques au service des besoins de l’humain et de notre environnement. Nous nous engageons à utiliser 50% de nos bénéfices au service d’une cause, ou pour porter des projets collectifs à finalité sociale et environnementale en privilégiant le territoire.

Antoine se raconte

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