Traque des chasseurs de baleines en Antarctique, aide au démantèlement de braconniers dans l’océan Austral, lutte contre l’emprisonnement des animaux dans les parcs aquatiques ou, plus récemment, défense des dauphins sacrifiés sur l’autel de la pêche non sélective : cette association n’aura jamais mené autant de missions que ces dernières années.
Fondée il y a plus de quarante ans, Sea Shepherd est sans doute – et entend bien rester – l’organisation de préservation des océans la plus combative au monde.
Paul Watson revient sur sa création, son évolution et ses perspectives d’avenir. Le combat d’une vie, dont l’urgence s’accroît au rythme du réchauffement climatique.
À propos de l’autrice
Lamya Essemlali a rejoint l’équipe de Sea Shepherd en 2005 après avoir rencontré le capitaine Watson à Paris. Cofondatrice de Sea Shepherd France en 2006, elle en est devenue présidente en juin 2008. Depuis 2013, elle est aussi codirectrice de Sea Shepherd International et participe ainsi à l’orchestration de l’ensemble des actions de l’ONG. Elle compte aujourd’hui à son actif 17 campagnes, dont 13 qu’elle a dirigé en France et à l’étranger.
« Un homme engagé jusqu’à la mort. » De cause à effets, le magazine de l’environnement France Culture