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Dans ce nouvel essai, Jean-Marc Gancille expose un tableau sans concession de la relation que l’être humain a nouée avec le monde animal, fondée sur la domination et l’exploitation, et ce dès avant la naissance de l’agriculture. Sacrifices religieux, collections et commerce d’animaux sauvages, domestication, utilisation des animaux à des fins militaires ou pour des expériences de laboratoires, captivité forcée dans les zoos et aquariums, chasse et pêche récréatives, élevage intensif ou surpêche… On n’en finit pas d’établir la liste des formes qu’adopte l’anthropocentrisme.

L’auteur n’en reste pas à ce triste bilan. Il démontre que ce carnage n’est pas seulement un éternel enfer pour les animaux mais aussi une tragédie pour l’espèce humaine en raison de la destruction des écosystèmes qu’elle provoque, une négation immorale de la sensibilité des animaux et une supercherie de l’industrie agroalimentaire, qui entretient la nécessité de consommer des protéines animales auprès du public. Enfin, il dessine une voie d’action pour « en finir avec l’anthropocentrisme » sur le plan juridique, alimentaire, agricole… et sur les méthodes pour mener cette lutte.

Poids0,26 kg
Auteur

Jean-Marc Gancille

Editeur

Rue de l'échiquier

Carnage

Dans son nouvel essai, Jean-Marc Gancille dénonce sans concession la relation de domination et d’exploitation que l’humanité entretient avec le monde animal, depuis avant l’agriculture. Du sacrifice religieux à la surpêche, l’auteur expose les multiples formes de cette relation anthropocentrique. Il souligne les conséquences tragiques pour les animaux, la destruction des écosystèmes, la négation immorale de la sensibilité animale, et dévoile les stratégies de l’industrie agroalimentaire. Tout en dressant un tableau sombre, Gancille propose des voies d’action juridiques, alimentaires et agricoles pour mettre fin à cette perspective anthropocentrique.

18,00 

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UGS : 9782374252421 Catégorie :