« S’il ne devait rester qu’un sentiment en refermant Le Bord du monde est vertical, c’est la capacité de l’auteur à montrer l’imperceptible et saisir l’insaisissable. Simon Parcot appréhende et restitue parfaitement les motivations qui nous poussent vers les montagnes et leurs mystères. »
Jean-Claude Ostorero (producteur du Sommet des dieux, César du meilleur film d’animation 2022)
« Le premier roman de Simon Parcot touche par sa singularité et son univers affirmé. D’une écriture poétique et charnelle, il investit l’univers de l’alpinisme en s’affranchissant des codes du genre. À une certaine “littérature de l’exploit montagnard”, il préfère la méditation métaphysique, danse à la lisière du fantastique. Les phrases sont fluides, la plume élégante. Le Bord du monde est vertical offre un délicat plaisir de lecture. »
Clara Arnaud (autrice de La Verticale du fleuve, Actes Sud)
« C’est un bien bel hommage à la montagne et surtout un magnifique roman sur les rêves qui nous habitent et sur le dépassement de soi! De quoi faire vivre et alimenter de futures légendes… »
Myriam Mazeaud, Rayon Littérature Française, Fnac Nantes
« J’ai aimé l’écriture et le cheminement d’un récit de montagne très concret et réaliste à une forme de récit plus légendaire. La réflexion autour du rêve, de l’imaginaire, de la force du récit. Et cette frontière finalement si ténue entre le rêve et la réalité, le récit et l’expérience, qu’on ne sait plus très bien lequel/laquelle est le plus tangible. Et puis, je pense que c’est un texte dont je n’ai sans doute pas encore perçu toutes les subtilités. Il me semble qu’il invite à s’interroger sur ses propres rêves, ses ambitions, ses limites, les raisons intérieures qui nous empêchent d’avancer, et peut-être aussi celles qui nous poussent à nous obstiner pourtant. Un livre bref, mais qui recèle bien des questionnements, à la fois sur la nature humaine et sur celle – plus intime – du lecteur. »
Nadège, Librairie Antigone (Gembloux, Belgique)
« J’ai beaucoup aimé, cela rappelle les ouvrages de Paolo Cognetti, les personnages sont ancrés et le décor très incarné. »
Sylvia, Librairie Au coin des Mots Passants (Gap)
« Une vallée, une cordée, une mission et la folie d’un homme. Grimper toujours plus haut comme pour toucher le ciel jusqu’à perdre la raison. Et pourtant il faut redescendre ou peut-être pas. Alors oui pour Simon Parcot le bord du monde est vertical et son premier roman, vertigineux. »
Rémi, Librairie L’Utopie (Paris)
« Quel livre merveilleux ! Il faut sans plus attendre se laisser entraîner par cette cordée au fin fond de la vallée. On vit dans ce roman un grand moment d’aventure, de rêve humain et de dépassement de soi. On est tenté, ébloui, un brin ensorcelé par cette montagne et son mystérieux sommet. On est bercé par l’amitié, l’amour et la chaleur partagée. On est porté par cette écriture poignante qui souffle sur les pages comme un vent de neige. »
Muriel, Vivement Dimanche (Lyon)